Le citron Etrog (Citrus medica) est souvent traité par les autorités comme un cultivar, il est vrai que ce nom est utilisé pour désigner une douzaine de cultivars ou de génotypes distincts. En fait, le mot «etrog» a plusieurs significations, l’une des définitions les plus générales se trouve en hébreu où «etrog» signifie «citron», incluant tous les membres de l’espèce Citrus medica. Les citrons sont principalement cultivés pour l’usage rituel juif. Le fruit doit posséder beaucoup de qualités pour pouvoir être utilisée.
Ce citron ressemble à un gros citron noueux et parfois nervuré. C’est une espèce d’agrumes et est liée à la main de Buddah. Une caractéristique de cette variété d’agrumes est une peau très épaisse et aromatique. Il a de très petites sections et de nombreuses graines. La chair du fruit n’est ni particulièrement douce ni aigre et il y a parfois très peu de goût. L’arbre donne ses fruits vers trois ans. Ceux-ci sont oblongs, et peuvent atteindre 15 cm de long. La pelure est épaisse, rénitente, odoriférante et couverte de protubérances; la pulpe est blanche et subacide. Lorsqu’on l’achète avant Soukkot, il est typiquement vert, et vire au jaune profond au cours de la semaine de la fête. Beaucoup de ce citron peuvent être trouvés avec les restes de la fleur encore intacte sur une extrémité du fruit. Dans la pratique juive, cela s’appelle le pitam, et il doit être intact si le fruit est utilisé dans la fête.
Temps Exécution | Difficulté | Usage | Précaution |
Variable | Facile | Citrons Etrog | |
Achat
Conservation
Préparation
Mariage des saveurs
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CommentairesUne histoire de la Torah affirme que l’Etrog était le fruit défendu dans le jardin d’Eden, et non pas une pomme réelle. L’ancien surnom de « pomme persane» peut avoir amené les générations suivantes à croire que le fruit défendu était une pomme et non le cédrat vénéré. Le cédrat utilisé pendant la fête est tenu de suivre certains critères dictés par les lois juives et le processus doit être supervisé par un rabbin. |
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